Dans cet article, je vous propose des pistes de réflexions et des solutions pour alléger votre charge mentale. C’est parti !
Pour ne plus ressembler à ce fameux lapin blanc qui court après le temps (ou l’inverse), j’ai décidé un jour de vivre – enfin – pour moi.
Une petite tranche de ma vie que j’ai partagé aux abonnés de ma newsletter dimanche dernier.
Vivre pour soi : une phrase qui vous choque ?
Pourtant, il ne s’agit absolument pas d’une démarche égoïste, mais plutôt d’un recentrage conscient dans le but d’aller vers une vie plus équilibrée.
L’objectif ?
🎯 Retrouver ma joie de vivre
🎯 Être plus alignée avec qui je suis
🎯 Me libérer du sentiment de me sacrifier pour les autres
J’entends souvent en séance de sophrologie des femmes (oui, je reçois la plupart du temps des femmes en consultations) qui oublient de vivre pour répondre aux besoins des autres.
Des femmes qui se délaissent et qui ont la sensation désagréable de passer à côté de leur vie.
– Tous ces loisirs et passions abandonnées, faute de temps ;
– Toutes ces pauses qu’on n’a pas pu prendre, faute de temps ;
– Tout ce stress qu’on emmagasine pour être à l’heure, pour remplir notre to-do list, pour aller chercher les enfants à l’école, pour penser à ce qu’il faut faire à la place des autres.
Ça me rappelle une séance de sophrologie en groupe que j’ai animé en mars, sur le thème de la charge mentale
🧠 La charge mentale, c’est l’accumulation des sollicitations de notre vie quotidienne, liées, entre autres, à nos responsabilités personnelles. Et cette charge peut parfois peser bien lourd.
Vous verrez sans doute très bien ce que le concept de charge mentale représente si je cite toutes les tâches quotidiennes de :
En bref, la charge mentale représente – en plus du travail – tout le travail de l’ombre que l’on effectue pour son foyer et au sein de celui-ci. Vous l’aurez compris, c’est un concept intrinsèquement lié aux inégalités des genres quant à la répartitions de toutes ces tâches faites dans l’ombre et non reconnues.
Alléger sa charge mentale, c’est possible. Plus la charge est élevée, plus la pression est grande. Or, la pression, on se la met souvent soi-même.
Bien sûr, je ne dis pas que tout est question de responsabilité et qu’il suffit de décider de s’alléger pour le faire. Ça serait bien trop facile, et ce n’est pas ma vision du bien-être humain.
Si le contexte personnel de chacun doit être pris en compte de manière évidente (les enfants ne vont pas aller se chercher tous seuls à l’école, le mari n’est pas toujours dispo pour aider aux courses, les dossiers en attente ne vont pas se clôturer comme par magie au bureau), on peut quand même réduire sa charge mentale en revoyant nos croyances, celles qui nous limitent, et qui créent une pression énorme sur nos épaules.
Un équilibre entre :
Prendre du recul sur sa charge mentale, c’est parfois se défaire du petit tyran qui sévit en nous et nous impose à lui seul bien plus que ceux qui nous entourent.
En séance de sophrologie, on peut travailler sur cette capacité à s’alléger, à se poser et à se pauser, enfin, pour soi, en mettant des mots sur les émotions qui nous traversent lorsqu’on s’oublie pour les autres.
Puis, en apprenant des techniques de gestion du stress qui permettent de faire descendre la pression quand on sent que la cocotte est sur le point d’exploser.
Et vous, qu’est-ce qui alourdit votre charge mentale ?
Mathilde
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